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Poèmes - Page 27

  • Essai mars 010 2011

    J'aurai aimé être un vampire

    Et toi ma proie et mon délire

    Me tapir dans l'obscurité

    Ainsi prêt à l'opportunité

     Puis comme pousser par cette envie profonde

    Du fond de moi comme la sève féconde 

    Me jeter sur toi , te surprendre  d'un coup

     Et d'un baiser fatal croquer ton cou.

    Puis m'enivrant de la chaleur de ta peau

    Aspirant ce fluide vital à notre union

    Cherchant la voie qui me même à ton âme

    Pour  pervertir  ton corps et je te damne.

    Léchant les dernières gouttes de ta sueur

    Ma main mouillé par ce réel bonheur

    Je laisse ton corps s'épanouir à ton plaisir

    Et puisse ta chair enivré et bouleversée

    Comme une demande à jamais rassasié

    Faire de moi l'esclave de ton amour pour te ravir.

  • Essai mars 009 2011

    Arc-bouté contre cette solitude
    je m'enferme dans la tour de mes songes
    Laissait au hasard le choix de faire
    Ce que je n'ose entreprendre.

    Ma vie ressemble à un calvaire
    Où chaque instant en moi me ronge
    Laissant mon corps dans l'atmosphère
    d'une illusion à si méprendre.

    Bien que la vie ce doit d'être illusoire
    Nos âmes eux seules savent la valeur
    De cette flamme qui court vers  nous
    Pour en défier notre  existence

    Puis les années passent et estompe nos sentiments
    Ceux qui primais, qui donnais un sens à notre vie
    Les voilà  aujourd'hui sur l'échafaud de l'oublie
    Pour en rependre leurs sens sur nos tourments.

    Notre vie est ainsi faite, de bric , de broc
    Rien n'en n'échappe à sa vigilance
    L'ordre des choses qui ne sont éphémères
    font de nous des êtres sans repères.

    Tels les papillons sortant de la chrysalide
    Nos ailes se déploie pour d'autre horizons
    Pour faire de nous des êtres sans attaches
    Prenant le chemin vers l'incertain

    Puis le jour venu où l'on nous rappelle
    Pour faire l'ultime voyage sans fin
    On laisse l'amour partie à tir d'aile
    Pour que notre coeur s'endorme enfin.
    PascalH

  • Essai mars 008 2011

    Je t'ai reconnu belle inconnue
    tu m'as regarder avec avec ce doux sourire
    La bouche légèrement entrouverte dégageant un soupir
    Faisant de moi cet être qui feras de toi ton amant.
    Je t'ai senti à travers ton parfum
    Celui qui imprègne ton corps chaque matin
    Et délivre en moi toute la ferveur
    Qu'il me faudra pour t'enflammer de bonheur.
    Je t'ai effleurer d'un échange de sourire
    Ton  regard malin en laisse beaucoup dire
    Ce qui t'honorera se rougit de plaisir
    Et braveras ardemment ta chapelle c'est peu dire.
    Je t'ai rêver dans l'espace d'un sommeil
    Nos corps enlacées se sont aimées pour la nuit
    Mais ce matin si douloureux à ma vie
    Laisse l'empreinte sur mes draps de dépit.
    Mais demain qui ne sera pas comme tout les jours
    Car je me presse à la vue de ta beauté
    Laissant pour le moins l'espérance d'un regard
    Pour que je puisse t'aimer avant qu'il ne soit trop tard.
    PascalH