Longues , douces et fuselées
je vous présente les jambes de mon aimée.
j'aime à caressé ce bel ouvrage
que la nature nous à donnée en gage
de pouvoir profiter de cet absinthe féminine
nous régalant ainsi de nos regards anonymes.
puis dans ma paume j'enveloppe ce divin présent
pour remonter pressé comme un amant
Ce beau mollet qui décuple ce désir intime
puis je dirige mes doigts vers la cime.
Ce chemin qui me conduit à la déraison
Brûle en moi et décuple mon émotion.
j'arrive à cette vallée de la genèse
Le coeur battant , où l'homme fut glaise
pour recueillir ce musc sacré
et de ma bouche s'en délecté.
Poèmes - Page 30
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Essai mars 001 2011
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Essai mars 2011
QUE SERONT NOUS DANS CENT ANS
NOTRE AMOUR AURAS LAISSER LA TRACE
DE CE QUI A FAIT DE NOUS DES AMANTS
CE SOUVENIR A JAMAIS NOUS REMPLACE
JE T'AI AIMER A EN MOURRIR
MAINTENANT ET C'EST LE PIRE
JE RESTE SEUL DANS TON ATTENTE
MON COEUR DIVAGUE CAR TU ME MANQUE.
TOUS SES MOTS QUE J'AI PU TE DIRE
BRULE EN MOI COMME UN FEU INCANDESCENT
AUJOURDHUI TU EST LOIN ET TON SOURIRE
A LAISSER CETTE EMPREINTE DANS MON SANG.
JE T'AI AIMER A EN MOURRIR
MAINTENANT ET C'EST LE PIRE
JE RESTE SEUL DANS TON ATTENTE
MON COEUR DIVAGUE CAR TU ME MANQUE.
LA VIE NOUS A REUNIS TROP PEU DE TEMPS
LA MORT NOUS RATTRAPPERAS POUR NOUS RETROUVER
MAIS LA OU TU EST ICI ET MAINTENANT
MA PENSEE VOYAGE VERS TON HORIZON MON AIMEE.
JE T'AI AIMER A EN MOURRIR
MAINTENANT ET C'EST LE PIRE
JE RESTE SEUL DANS TON ATTENTE
MON COEUR DIVAGUE CAR TU ME MANQUE.
BIEN QUE NOS VIES NOUS EST RAPPROCHER
J'EN VEUX A CE HAZARD QUI T'AS MIS SUR MA ROUTE
BIEN TROP TARD SUR CE CHEMIN QUI M'AS DEROUTER
DE CETTE EXISTENCE QUI M'AS REMPLI DE DOUTE
JE T'AI AIMER A EN MOURRIR
MAINTENANT ET C'EST LE PIRE
JE RESTE SEUL DANS TON ATTENTE
MON COEUR DIVAGUE CAR TU ME MANQUE.
QUE VAIS JE FAIRE SINON GARDER EN SECRET
CETTE ROMANCE QUI S'ETEINDRA UN JOUR AVEC MOI
ET RECOMMENCER A ENTREPRENDRE LE RETOUR DISCRET
VERS LES MIENS QUI ONT SU M'ATTENDRE BRAVANT L'EMOI.
JE T'AI AIMER A EN MOURRIR
MAINTENANT ET C'EST LE PIRE
JE RESTE SEUL DANS TON ATTENTE
MON COEUR DIVAGUE CAR TU ME MANQUE. -
De l'autre côté d'un regard
Au-delà de nos rêves
Existe il une trêve
Et si à chacun de ces instants.
Qui ne dure que le temps d’un moment,
Nous dévoilent ainsi que de l’autre coté,
Sévie la véritable épopée d’une vie incertaine.
Bien que l’existence n’est que le lien des joies et des peines.
Et que l’être fourbu devant tant de labeur et d’espoir corrompu,
Doit en arriver à cette conclusion hâtive que le leurre n’est plus qu’un état d’esprit.
Qu’à chaque seconde qui le maintien encore dans cette attitude de latence éternel,
Fasse de lui le parjure d’une entité pour qui la sombre estime qu’il n’as de lui-même,
Pourrisse à jamais ses racines dans ce terreau d’un univers avide et surtout douteux,
La où son avenir ne se dessine que par bribes , il suffoque et son âme agonise.
Les râles qui s’échappent de ce corps qui sera bientôt sans vie
Ne déroge pas aux règles de l’univers.
Nous disperserons le cumul de ces années
Dans l’espace des souvenirs que l’on oublie.
Puis la chaîne qui constitue la condition de ce renouvellement
Donneras à la vie la symbolique, occasion d’une renaissance
Perdurant le cycle sans attachement à quoi que ce soit.
Sans émerveillement , sans scintillement, sans extase , sans protocole
Ce qui fût sera, et l’action de chaque molécules n’aurons que cette notion éphémère.