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Poèmes - Page 29

  • Essai mars 004 2011

    J'ai posé ma bouche sur ton puits d'amour
    Glisser ma langue pour m'y délecter
    aspirer tes lèvres pour mieux les goutter
    Et de mon nez caresser ton humide contour.

    Ce sont mes doigts qui me l'on dit
    Viens donc là, place toi ici
    Tu découvriras sous ce petit pli humide
    Toute la tendresse d'un accueil pour ta liqueur de vie.

    Et puis pour ne pas le vexer
    Ce petit bout de chair il te faut l'embrasser
    Le glisser sous ta langue pour mieux l'emprisonner
    Et faire jouir ta belle en la  titillant de faveurs  endiablés.

  • essai mars 003 2011

    Somptueuse aimée au gout sans pareil
    Habillée de tes meilleurs effets
    De la base de tes chevilles à la base des tes hanches
    Du mouvement gracieux de ta démarche féline
    Du désirs que tu véhicule , parfum de ton charme
    De ton sourire qui n'en n'ai pas moins ravageur
    De tes lèvres qui domine le monde des hommes
    De ta féminité qui devient légal d'un opium
    Nous libérant de nos entraves et de nos chaines
    Laissant libre cours à nos sens et nos phantasmes.
    De tes courbes qui bouleverse l'état de mon esprit
    Donnant le change à touts mes pensées enclavés
    De ce bouillonnant appétit de ta chair
    De cette envie de m'y enivrer jusqu'à perpétuité.
    De toute façon tu connais bien ma façon
    de t'aimer comme un lion aime sa lionne
    De cette passion qui t'est souvent lourde à porter
    De mon amour souvent comme une chaine à tes pieds
    De ma fougueuse passion de ta chair et de ton plaisir
    Dont j'aurais tant voulu te remettre à ton septième ciel
    Et que dans cette extase de jouissance
    tu trouve enfin le plaisir de ton existence.

  • essai mars 002 2011

    Sur la toile de mes rêves de mon âme damné

    J'ai dessiné ton corps de mes longs doigts affilés

    Et sans obtenir de trêve car  j'en suis l'esclave né.

    Mes souvenirs guide ma main pour peindre mon aimée.

    La caresse de tes courbes sur cette feuille de papier

    Puisse en moi toute la sève et le désir  ainsi irrigué

    Pour te remettre ce présent , cette liqueur si sacré.

    Puis je suis comme pris d'une  contemplation inexpliqué

    Te voir ainsi calme, détendu d'une beauté reposé

    A ces lèvres rougie par le désirs de nos nuits passées.

    J'effleure encore de passion cette peau avec générosité.

    Puis je retourne à ce qui fait de moi cet  être passionné

    Je te soumet mon coeur et mon âme, je suis ton  prisonnier

    J'espère simplement que tout cela ne soit pas trop lourd à porter.