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Poèmes et Pensées - Page 4

  • Ecrit 2011-2012 006

    Nous n'avons d'attitude égal qu'au moment même ou nous prenons conscience des mots. Ils sont à la fois nos amis et nos pires cauchemars. 


    Devons nous à ce moment laisser de coté nos sentiments pour qu'ils ne deviennent des préjuger, des jugements et que par là même nos pensées les plus nobles ce trouvent ainsi précipiter dans l’abîme de la frustration. 

    Cette tempête n'est que le reflet de nos tourments et de l'agitations de nos esprits , notre condition d'humain en est défini ainsi.

     

    Nous sommes à la fois si nombreux et si seul, que devant tant de solitude nous nous offrons pour mieux entrer dans la sollicitude. L’amitié au jour d’aujourd’hui n’est qu’une pluralité, un échange de masse, nous amène à se protéger des autres et se refuser à soi même.


    Nous ne nous voyons plus, vide de toute excellence comme cette image dans le reflet d’une glace déformer par les aléas de la vie.


    Nous pleurons des larmes amères pour un passé déjà oublier, car notre corps vieilli plus vite que notre esprit, dans ce futur si proche.


    Mais le temps ou viendra l’heure solennelle de notre abdication pour cette fin d’existence, nos souvenirs seront las d’être exhibé devant tant d’indifférence, et sans plus attendre notre âme devenu nomade en nom deviendra l’obligé d’un autre monde et d’expérience ainsi confié.

     

  • Ecrit 2011-2012 006

    Je suis las de cette vie, celle qui m’amène à ce trépas,
    Celui qui nous est destiné vers cette terre de non droit.
    Ou règnent le labeur universel et la misère du monde
    Comme un pic dans un cœur, cette peur qui nous sonde.
    Epuiser je le suis comme une âme déchirer et meurtrie,
    Regardant vers cet azur ou mes rêves furent jeter en dénie
    Comme en pâture aux hypocrites de cet univers en ruine.
    Peuple d’un no man’s land avide de pleurs, sombres vermines
    Vous vous croyez ainsi à l’abri de tout jugement il n’en n’est point
    Que de la main qui vous sauva de cet abime, sans laquelle votre fin
    N’aurais pu échapper au réceptacle de la folie et de vos peurs égarer.
    Je vous laisse à votre sort, et que de pitié vous épargne d’en être damné.


    PH

  • Ecrit 2011-2012 005

    Comment ne pas être conquit par une aussi jolie vue.

    Cela ferais de t'il de  vous une gracieuse et  belle ingénue

    Nous n’en somme pas moins sensible en tant qu’homme

    A une petite partie d’un charme pour en faire un dogme.

    Serais assez de moi et du peu d’identité pour solliciter votre belle amitié. 


    PH